Ce matin, Yann et moi terminons notre nuit de travail. Après le déjeûner, n
Dimanche,7 septembre 2008
Après s'être réveillés, étirés et douchés suivis d'un délicieux déjeûner, no
âle pour nous diriger à la gare. Nous prenons le train en direction de Zurich. La madame contrôleure n'était pas contente de voir la Swisspass d'Aline et Jacques non estampillée.Elle a faillit leur coller une contravention leur disant qu'ils devaient lire au complet le billet. Même si nous étions trois à lui expliquer qu'ils avaient déjà présenté leurs billet à la gare et la préposée au guichet n'a jamais daigné y apposer le sceau.Fiou!!Ils l'ont échap
holique-romaine s'est accrue au point de ratrapper en nombre la po
pulation protestante, aujourd'hui. Nous observons plusieurs églises et le Grossmünster est non seulement l'église principale de Zurich mais également le point de départ de la Réformation en Suisse alémanique sous l'égide de Huldrych Zwingli(1484-1531) et de Henrich Bullinger(1504-1575).C'est celle qui a deux tours sur la photo. L'église catholique que nous avons trouvé est la dernière visitée. Son décor coloré contraste avec celui plutôt sobre des églises protestantes. En déambulant dans les rues de la Schipfe,l'un des plus anciens quartiers de
la ville, nousLundi,8 septembre 2008
Ce matin, nous quittons Zurich pour se rendre à Lucerne. Il parait que c'e
st une belle ville à visiter.Malheu
reusement, nous n'avons pu la visiter.C'est l'anecdote du jour ou «Bédardisme» comme dirait Patrick Doucet,l'un de mes anciens collègues rimouskois.Pour ceux qui ne le savent pas, il m'arrive,parfois, des histoires loufoques à ne pas en croire comme «marées hautes, marées basses», trop long à raconter, ici mais ceux ou celles, qui savent, vont bien en rire.Donc,au lieu de visiter Lucerne, nous nous rendons à Berne que nous avons failli loup
é...Que s'est-il passé, finalement? À Zurich, trop pressés d'embarquer d
ans le train pour Lucerne, nous n'étions pas dans le bon train même si nous étions sur le bon quai. Légèrement en retard, le train dans lequel nous sommes embarqués est celui qui se rend dans une direction opposée. Revisant notre position,nous sommes d'accord pour visiter Berne; Lucerne sera un autre jour.Papotant tout au long du parcours, nous oublions de débarquer à Olten pour changer de train en direction de Berne.Par malheur, le contrôleur s'aperçoit de l'expiration de mon billet d'abonnement annuel demi-tarif.Il est gentil d'accepter mes explications sans me faire payer l'amende.Ici,il faut être en règle continuellement sinon cela risque de nous coûter très chère. J'attendais,donc, mon renouvellement par la poste sans m'être rendue compte de son expiration. N
ous arrêtons à Neuchâtel pour modifier mon billet. J'en profit
es pour renouveler cet abonnement. Arrivés, finalement, à Berne,notre estomac crie famine. C'est le temps de goûter à la fameuse rösti du restaurant Le Mazot.C'est toujours aussi délicieux, peu importe le choix d'accompagnement. Passons l'après-midi à déambuler dans les rues célèbres avec ses arcades. Puisque c'est lundi, il y a bien des musées fermés mais nous explorons d'autres avenues proposées où le panorama de la ville ne laiss
e pas indifférent.Eb
louis,nos yeux se réjouissent de contempler ce que Jacques s'exclame lorsqu'il aperçoit à l'horizon cette chaîne de montagne enneigée contrastant avec le paysage verdoyant.En route vers Lausanne, vous n'imaginez pas la tête de la contrôleure quand je lui sors mes cartes modifiées de mes allers-retours entre Bâle-Lausanne-Lucer
ne-Neuchâtel-
Berne-Lausanne en plus de mon renouvellement. On aurait dit que je lui offrais un jeu de cartes.Aline et Jacques en sont témoins et n'oublierons pas de si tôt son expression. Ils en ri encore . Yann et Sébastien ne manquent pas de me taquiner quand nous leur racontons notre journée. Mes congés terminés,nos invités installés,les bras de Morphée ne se font pas prier.
reusement, nous n'avons pu la visiter.C'est l'anecdote du jour ou «Bédardisme» comme dirait Patrick Doucet,l'un de mes anciens collègues rimouskois.Pour ceux qui ne le savent pas, il m'arrive,parfois, des histoires loufoques à ne pas en croire comme «marées hautes, marées basses», trop long à raconter, ici mais ceux ou celles, qui savent, vont bien en rire.Donc,au lieu de visiter Lucerne, nous nous rendons à Berne que nous avons failli loup
é...Que s'est-il passé, finalement? À Zurich, trop pressés d'embarquer d
es pour renouveler cet abonnement. Arrivés, finalement, à Berne,notre estomac crie famine. C'est le temps de goûter à la fameuse rösti du restaurant Le Mazot.C'est toujours aussi délicieux, peu importe le choix d'accompagnement. Passons l'après-midi à déambuler dans les rues célèbres avec ses arcades. Puisque c'est lundi, il y a bien des musées fermés mais nous explorons d'autres avenues proposées où le panorama de la ville ne laiss
e pas indifférent.Eb
Berne-Lausanne en plus de mon renouvellement. On aurait dit que je lui offrais un jeu de cartes.Aline et Jacques en sont témoins et n'oublierons pas de si tôt son expression. Ils en ri encore . Yann et Sébastien ne manquent pas de me taquiner quand nous leur racontons notre journée. Mes congés terminés,nos invités installés,les bras de Morphée ne se font pas prier. ***merci Jacques et Aline pour vos photos
1 commentaire:
Je trouvais aussi, qu'il ne t'étais pas arrivé beaucoup de "bédarisme" depuis que tu étais en Suisse.... Pas pire la tête de linotte... Toujours magnifiques photos et sujet intéressant, on aime ça
Continue
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