Enfin les vacances!!!Depuis le temps que nous y rêvons,aujourd'hui,Nicolas et moi, quittons le beau grand Lausanne en direction de l'aéroport de Genève en passant,
évidemment, par le train auparavant. 
Quelle journée nous attend! L'arrivée à notre destination s'effectuera que demain matin.Comme le trajet promet d'être long,j'ai la bonne idée d'apporter le jeu de scrabble que Nicolas porte dans son sac. Pour me faire plaisir et semble y prendre plaisir également,il accepte bien de jouer quand l'occasion s'y présente malgré le fait de s'être fait fouiller à l'aéroport en raison d'une boîte suspecte qui inquiète les douaniers. Première anecdote;ça promet pour les vacances! Ah! j'oubliais!De Genève à Paris,nous arrivons à Charles de Gaulle pour transférer à l'aéroport de Orly où nous prendrons l'avion à 21h en direction de l'Île de La Réunion.Dimanche,1 novembre 2009
Après ce vol de nuit qui nous a épuisé quelque peu,nous arrivons à l'aéropor
t Roland-Garros de La Réunion en fin d'
avant-midi.Histoire de s'intégrer rapidement à notre nouveau milieu,nous prenons le bus pour nous rendre à St-Denis,la ville à proximité qui se trouve être la capitale,même la plus grande «capitale d'outre-mer et la mini-Croisette» la plus méridionale des départements français,parait-il.Puisque c'est un voyage d'aventure,nous sommes à la recherche d'un hôtel nous hébergeant pour la nuit.Pas aussi facile que nous nous y attendions;nous sommes encore en haute saison touristique et un salon de l'habitation présent actuellement limite les endroits. En plus, c'est dimanche et tout est fermé y compris l'office touristique.Heureusement que Le Routard nous accompagne et nous indique quelques adresses. Il fait chaud et vadrouillons dans les rues au fil de notre exploration.Nous rencontrons une gentille dame souriante,à l'âge d'être grand-maman,qui nous éclaire à l'adresse où nous voulons nous rendre.L'hôtel Phoenix est l'endroit où nous débarquons. Après une petite pause, comme nous sommes de passage,nous débutons notre petite balade par le Barachois,une sorte de petit port sommaire où les grands comme les petits déambulent le long de
cette digue. 
Les vagues qui viennent s'y briser tout au long, se frottent aux célèbres canons pointés vers le large dont l'emplacement est aussi le kilomètre zéro de l'île, point à partir duquel sont mesurées, les distances qui séparent La Réunion du reste du monde,à ce qu'il parait.C'est,en tout cas, agréable de se promener sur cette grande esplanade flanquée de ficus tout au long du boulevard où, plus loin, nous retrouvons un petit parc et quelques terrasses. Nous nous amusons à observer les gens de la place jouer de la pétanque.Il paraît que c'est la promenade dominicale des Dionysiens. Nous nous installons à l'une de ses terrasses pour se restaurer avant de regagner notre premier nid sur l'île.Lundi,2 novembre 2009
Après une bonne nuit de récupération,nous retournons à l'aéroport récupérer notre bolide qui nous accompagnera tout au long de notre excursion dans l'île. C'est une Renault Megane. Excellent pour l'espace et son besoin en carburant est économique. Nous avions observé,la veille, un ph
énomène particulier; les cimetières sont garnies d'une multi
tude de fleurs et de visiteurs.Nous apprendrons,par la suite,que les gens vont rendre hommage à leurs chers disparus le 1er et le 2 novembre. À 25 km de Saint-Denis où se trouve la jolie petite ville qu'est St-Paul,la curiosité nous pousse à visiter ce cimetière marin longeant le littoral.Ce cimetière est l'un des plus vieux de la Réunion selon notre infor
m
ation.Les plus anciennes tombes dateraient de 1788 où se côtoient,en plus de monsieur, madame «tout le monde», à tout hasard, le célèbre poète,écrivain Leconte De Lisle,chef de l'école parnassienne, qui aurait succédé à Victor Hugo en 1886.Ce cimetière abrite également le fameux personnage;le pirate Olivier Levasseur,dit:«La Buse», qui écuma l'océan indien au 18ième siècle.Il aurait caché un trésor à La Réunion!?!!!...Quelle histoire qui commence à se dévoiler devant nous! Le trouverons-nous???hi!hi!Après une reconnaissance des lieux de notre projet de demain,des petites courses chez Leclerc et de multiples téléphones pour trouver un toit pour la nuit, nous nous retrouvons à Bellemène-les-Hauts chez Susie et Gaya. Même avec les informations du routard, la carte et notre application à ne pas se perdre,n
ous avons
eu du mal à les trouver. La signalisation, en général,sauf exception, est difficile à reconnaître pour les touristes. Comme bien d'autres(c'est rassurant),nous avons pris également l'habitude de nous retourner à chaque carrefour pour voir ce qu'indiquaient les pancartes que l'on voyait de dos en arrivant parce que la pancarte installée à un endroit est uniquement visible depuis un seul côté de la route.En plus, une fois la bonne route manquée, les pancartes suivantes ne se trouvent pas aux bons endroits. Qu'est-ce qu'on fait lorsqu'on arrive à un croisement de route où rien n'est indiqué??? Une petite amélioration mériterait une attention particulière de ce côté à notre avis. Bien entendu,nous y sommes bien arrivés.Bel accueil de nos hôtes nous imbibant de leur quotidien et nous faisant découvrir les saveurs créoles en débutant par le punch arrangé,les bouchons, les samoussas comme apéro, gratin au chouchou avec poulet grillé accompagnés de rougail en finissant avec une salade de fruits exotiques de l'Île...Oh!la!la! que c'est bon!
énomène particulier; les cimetières sont garnies d'une multi
tude de fleurs et de visiteurs.Nous apprendrons,par la suite,que les gens vont rendre hommage à leurs chers disparus le 1er et le 2 novembre. À 25 km de Saint-Denis où se trouve la jolie petite ville qu'est St-Paul,la curiosité nous pousse à visiter ce cimetière marin longeant le littoral.Ce cimetière est l'un des plus vieux de la Réunion selon notre infor
m
ation.Les plus anciennes tombes dateraient de 1788 où se côtoient,en plus de monsieur, madame «tout le monde», à tout hasard, le célèbre poète,écrivain Leconte De Lisle,chef de l'école parnassienne, qui aurait succédé à Victor Hugo en 1886.Ce cimetière abrite également le fameux personnage;le pirate Olivier Levasseur,dit:«La Buse», qui écuma l'océan indien au 18ième siècle.Il aurait caché un trésor à La Réunion!?!!!...Quelle histoire qui commence à se dévoiler devant nous! Le trouverons-nous???hi!hi!Après une reconnaissance des lieux de notre projet de demain,des petites courses chez Leclerc et de multiples téléphones pour trouver un toit pour la nuit, nous nous retrouvons à Bellemène-les-Hauts chez Susie et Gaya. Même avec les informations du routard, la carte et notre application à ne pas se perdre,n
ous avons
eu du mal à les trouver. La signalisation, en général,sauf exception, est difficile à reconnaître pour les touristes. Comme bien d'autres(c'est rassurant),nous avons pris également l'habitude de nous retourner à chaque carrefour pour voir ce qu'indiquaient les pancartes que l'on voyait de dos en arrivant parce que la pancarte installée à un endroit est uniquement visible depuis un seul côté de la route.En plus, une fois la bonne route manquée, les pancartes suivantes ne se trouvent pas aux bons endroits. Qu'est-ce qu'on fait lorsqu'on arrive à un croisement de route où rien n'est indiqué??? Une petite amélioration mériterait une attention particulière de ce côté à notre avis. Bien entendu,nous y sommes bien arrivés.Bel accueil de nos hôtes nous imbibant de leur quotidien et nous faisant découvrir les saveurs créoles en débutant par le punch arrangé,les bouchons, les samoussas comme apéro, gratin au chouchou avec poulet grillé accompagnés de rougail en finissant avec une salade de fruits exotiques de l'Île...Oh!la!la! que c'est bon!Mardi,3 novembre 2009
Vers 4h15,c'est le réveil qui nous fait ouvrir l'oeil pour nous rendre chez Félix ULM avant le lever du soleil.C'est vers 6h05 que nous embarquons dans un ULM(petit avi
on ultra léger) qui me fait penser
à celui de St-Exupéry.C'est le plus petit que j'ai embarqué jusqu'à maintenant.Il n'y a de la place que pour un passager et le pilote,bien sûr.Le mien, se nomme Bruno et celui de Nicolas s'appelle Michaël.C'est notre coup de coeur!Fabuleeuuuuuux!!! Comme un oiseau, nous survolons l'Île;les 2 volcans, les 3 cirques, les lagons.le tout en 1h15 environ...la totale, quoi!!! Magnifique! Légèrement craintive la veille,Bruno me rassure rapidement. Il chantonne et m'explique cette île si surprenante avec ses reliefs accidentés offrant des paysages grandioses.Tout d'abord, il faut savoir qu'elle se situe à 800
km à l'est 
de Madagascar et à 1600km au continent africain. La Réunion forme avec ses voisines, l'Île Maurice et l'Île Rodrigues, l'archipel des Mascareignes.D'origine volcanique,cette île est apparue environ depuis 2,5 millions d'années à la suite des éruptions du Piton des Neiges, aujourd'hui, endormi. Avec son petit frère le Piton de la Fournaise,qui lui, encore actif et ce, depuis plus de 400,000 ans et qui crache, à peu près, une fois par année,il forme la physionomie de l'Île d'une superficie d'environ 2,500km2 dont la population est estimée à env
iron de 785,000hab.Ce matin, nous observons des petites fu
mées. Les réunionnais attendent fébrilement son éruption. Curieusement,c'est une fête que d'observer son réveil. Le paysage est contrastant à différents endroits.C'est l'effondrement des parois du Piton des Neiges qui forme trois cirques sauvages dont l'un n'est accessible qu'à pieds. C'est celui de Mafate.Cilaos et Salazie sont les deux autres.Ce cahot volcanique avec ses pans
des montagnes aux crêtes effilées, en pitons solitaires, parf
ois striés et panachés de vertigineuses cascades est à La Réunion ce que la statue de la Liberté est à New York: son symbole et son âme à ce qu'il parait. C'est un spectacle époustouflant! Cela nous donne un avant-goût de ce que nous allons découvrir tout au long de notre séjour!L'équipe de Félix ULM est très sympa;Bruno et Michaël ont survolé côte à côte pour permettre à Nicolas et à moi de nous saluer dans les airs.De retour au sol,un café nous est offert par Dorothée, Félix et les membres de l'équipe nous encourageant à verbaliser sur nos impressions ainsi qu'avec d'autres clients se préparant à voler à leur tour.Nous ne sommes pas prêts d'oublier cette balade.Comm
e il est encore tôt, nous nous rendons visite
r le village d'Eperon supposément intéressant. Peut-être était-il trop tôt?Nous avons rien vu qui puisse intéresser l'oeil.Puisqu'il est encore trop tôt, nous nous rendons à Villèle y visiter son musée dont le domaine de la famille Panon-Desbassyns,grande lignée de riches propriétaires terriens témoigne de cette période 
difficile de l'Histoire française.C'est dans 
un magnifique jardin que nous découvrons la demeure, de style Pondichéry(1788)en pierre de lave.Nous apprécions cette visite guidée nous plongeant dans l'histoire de l'esclavage dont cette propriétaire respectée par son sens aïgue des affaires mais impopulaire par la dureté de ses esclaves.Nous ne pouvons rest
er indifférents.Puis notre visite libre nous mène à la Chap
elle Pointue. Située à proximité du musée de Villèle,cette chapelle a été édifiée par Mme Desbassyns en 1841, quelques années avant sa mort.Il semble qu'elle était soucieuse d'offrir à son voisinage un lieu de culte et cherchait à évangéliser ses nombreux esclaves. 
Elle y serait enterrée en 1846
. D'une valeur patrimoniale, cette chapelle présente l'un des monuments historiques les plus remarquables de la Réunion.Continuons notre balade au Conservatoire botanique national de Mascarin sur Les Colimaçons. Cette propriété au XIXe siècle du marquis de Chateauvieux,une villa tout en bardeaux transformée,aujourd'hui, en centre de recherche depuis 1986. Après une pause pour manger une bouchée, nous nous promenons dans le parc où nous découvrons la flore de La Réunion subdivisée en cinq collections végétales intéressantes à admirer et à reconnaître. À la suite, nous arrêtons à St-Gilles-les-Bains et visitons l'Aquarium qui est assez spect
aculaire avec plus de 600,000 litres d'eau de mer dé
diés à la faune et à la flore sous-marine réunionnaise.L'eau de mer naturelle à circuit ouvert,la lumière solaire, et une gestion technique rigoureuse, permettent une reconstitution fidèle de la vie sous-marine. Nous pouvons observer ainsi de nombreuses espèces; requins, poissons tropicaux, coraux, mérous, barracudas, langoustes, etc...Quel aquarium! Fascinant! Contents d'arriver au gîte, nous passons, à nouveau, une excellente soirée en compagnie de Susie et de Gaya et d'un autre couple. Notre lit est bienvenue à la suite! Ouf! Quelle journée!!
on ultra léger) qui me fait penser
à celui de St-Exupéry.C'est le plus petit que j'ai embarqué jusqu'à maintenant.Il n'y a de la place que pour un passager et le pilote,bien sûr.Le mien, se nomme Bruno et celui de Nicolas s'appelle Michaël.C'est notre coup de coeur!Fabuleeuuuuuux!!! Comme un oiseau, nous survolons l'Île;les 2 volcans, les 3 cirques, les lagons.le tout en 1h15 environ...la totale, quoi!!! Magnifique! Légèrement craintive la veille,Bruno me rassure rapidement. Il chantonne et m'explique cette île si surprenante avec ses reliefs accidentés offrant des paysages grandioses.Tout d'abord, il faut savoir qu'elle se situe à 800
km à l'est 
de Madagascar et à 1600km au continent africain. La Réunion forme avec ses voisines, l'Île Maurice et l'Île Rodrigues, l'archipel des Mascareignes.D'origine volcanique,cette île est apparue environ depuis 2,5 millions d'années à la suite des éruptions du Piton des Neiges, aujourd'hui, endormi. Avec son petit frère le Piton de la Fournaise,qui lui, encore actif et ce, depuis plus de 400,000 ans et qui crache, à peu près, une fois par année,il forme la physionomie de l'Île d'une superficie d'environ 2,500km2 dont la population est estimée à env
iron de 785,000hab.Ce matin, nous observons des petites fu
mées. Les réunionnais attendent fébrilement son éruption. Curieusement,c'est une fête que d'observer son réveil. Le paysage est contrastant à différents endroits.C'est l'effondrement des parois du Piton des Neiges qui forme trois cirques sauvages dont l'un n'est accessible qu'à pieds. C'est celui de Mafate.Cilaos et Salazie sont les deux autres.Ce cahot volcanique avec ses pans
des montagnes aux crêtes effilées, en pitons solitaires, parf
ois striés et panachés de vertigineuses cascades est à La Réunion ce que la statue de la Liberté est à New York: son symbole et son âme à ce qu'il parait. C'est un spectacle époustouflant! Cela nous donne un avant-goût de ce que nous allons découvrir tout au long de notre séjour!L'équipe de Félix ULM est très sympa;Bruno et Michaël ont survolé côte à côte pour permettre à Nicolas et à moi de nous saluer dans les airs.De retour au sol,un café nous est offert par Dorothée, Félix et les membres de l'équipe nous encourageant à verbaliser sur nos impressions ainsi qu'avec d'autres clients se préparant à voler à leur tour.Nous ne sommes pas prêts d'oublier cette balade.Comm
e il est encore tôt, nous nous rendons visite
r le village d'Eperon supposément intéressant. Peut-être était-il trop tôt?Nous avons rien vu qui puisse intéresser l'oeil.Puisqu'il est encore trop tôt, nous nous rendons à Villèle y visiter son musée dont le domaine de la famille Panon-Desbassyns,grande lignée de riches propriétaires terriens témoigne de cette période 
difficile de l'Histoire française.C'est dans 
un magnifique jardin que nous découvrons la demeure, de style Pondichéry(1788)en pierre de lave.Nous apprécions cette visite guidée nous plongeant dans l'histoire de l'esclavage dont cette propriétaire respectée par son sens aïgue des affaires mais impopulaire par la dureté de ses esclaves.Nous ne pouvons rest
er indifférents.Puis notre visite libre nous mène à la Chap
elle Pointue. Située à proximité du musée de Villèle,cette chapelle a été édifiée par Mme Desbassyns en 1841, quelques années avant sa mort.Il semble qu'elle était soucieuse d'offrir à son voisinage un lieu de culte et cherchait à évangéliser ses nombreux esclaves. 
Elle y serait enterrée en 1846
. D'une valeur patrimoniale, cette chapelle présente l'un des monuments historiques les plus remarquables de la Réunion.Continuons notre balade au Conservatoire botanique national de Mascarin sur Les Colimaçons. Cette propriété au XIXe siècle du marquis de Chateauvieux,une villa tout en bardeaux transformée,aujourd'hui, en centre de recherche depuis 1986. Après une pause pour manger une bouchée, nous nous promenons dans le parc où nous découvrons la flore de La Réunion subdivisée en cinq collections végétales intéressantes à admirer et à reconnaître. À la suite, nous arrêtons à St-Gilles-les-Bains et visitons l'Aquarium qui est assez spect
aculaire avec plus de 600,000 litres d'eau de mer dé
diés à la faune et à la flore sous-marine réunionnaise.L'eau de mer naturelle à circuit ouvert,la lumière solaire, et une gestion technique rigoureuse, permettent une reconstitution fidèle de la vie sous-marine. Nous pouvons observer ainsi de nombreuses espèces; requins, poissons tropicaux, coraux, mérous, barracudas, langoustes, etc...Quel aquarium! Fascinant! Contents d'arriver au gîte, nous passons, à nouveau, une excellente soirée en compagnie de Susie et de Gaya et d'un autre couple. Notre lit est bienvenue à la suite! Ouf! Quelle journée!!Mercredi,4 novembre 2009
Drôle de vacances!!!...nous quittons le gîte avant même le lever du soleil! Nous
nous rendons au piton MaÏdo 
qui vaut la peine d'être vu.Lieu magique, il nous permet d'avoir une vue panoramique plongeante sur le cirque de Mafate. Nous sommes à 2203m d'altitude. Pourquoi venir si tôt, me demanderez-vous? C'est en raison des nuages qui commencent à envahir le cirque à partir de 10h le matin.Décor magnifique!Puisque nous n'avions pas encore déjeûner,une petite pause s'impose...y-a-t-il une table de pique-nique à qu
elque part,Nicolas? Euréka!Le temp
s de se restaurer et nous sommes prêts à poursuivre notre route dont la signalisation n'est pas toujours évidente;combien de détours avant de trouver!!! Enfin! Près de St-Leu,nous observons plusieurs parapentes en activité. C'est un endroit idéal pour ça semble-t-il.Puis,à Stella, nous nous retrouvons devant le Musée de Stella Matutina qui s'étend sur 5000m2.Très intéressant de voir cette ancienne usine sucrière complètement restaurée dans un style futuriste dont son parcours muséographique nous fait revivre l'histoire du peuplement de l'île:de l'ère du café à l'essor de la canne à sucre,des secrets de la fabrication du sucre et du rhum et de l'exposition «Stella Matutina Travailleurs du sucre» qui nous plonge dans la période de 1940 à 1978 afin de nous faire dé
couvrir l'histoire de l'Industrie sucrière à travers l
'exemple de Stella. C'est un bel hommage aux anciens travailleurs qui viennent témoigner de leur métier, de leur expérience et de leur vie à l'usine...! Du belvedère,nous avons même la vue sur la plateforme de réception et de pesée de la canne à sucre(en activité de juin à décembre).Continuons notre chemin tout au long du littoral vers St-Gilles-Les-Bains où nous coucherons à l'Hôtel-de-la-Plage ce soir.Nous soupons au restaurant l'Oasis des Roches, situé au bord de la plage. Le décor est chaleureux et le repas est délicieux!
nous rendons au piton MaÏdo 
qui vaut la peine d'être vu.Lieu magique, il nous permet d'avoir une vue panoramique plongeante sur le cirque de Mafate. Nous sommes à 2203m d'altitude. Pourquoi venir si tôt, me demanderez-vous? C'est en raison des nuages qui commencent à envahir le cirque à partir de 10h le matin.Décor magnifique!Puisque nous n'avions pas encore déjeûner,une petite pause s'impose...y-a-t-il une table de pique-nique à qu
elque part,Nicolas? Euréka!Le temp
s de se restaurer et nous sommes prêts à poursuivre notre route dont la signalisation n'est pas toujours évidente;combien de détours avant de trouver!!! Enfin! Près de St-Leu,nous observons plusieurs parapentes en activité. C'est un endroit idéal pour ça semble-t-il.Puis,à Stella, nous nous retrouvons devant le Musée de Stella Matutina qui s'étend sur 5000m2.Très intéressant de voir cette ancienne usine sucrière complètement restaurée dans un style futuriste dont son parcours muséographique nous fait revivre l'histoire du peuplement de l'île:de l'ère du café à l'essor de la canne à sucre,des secrets de la fabrication du sucre et du rhum et de l'exposition «Stella Matutina Travailleurs du sucre» qui nous plonge dans la période de 1940 à 1978 afin de nous faire dé
couvrir l'histoire de l'Industrie sucrière à travers l
'exemple de Stella. C'est un bel hommage aux anciens travailleurs qui viennent témoigner de leur métier, de leur expérience et de leur vie à l'usine...! Du belvedère,nous avons même la vue sur la plateforme de réception et de pesée de la canne à sucre(en activité de juin à décembre).Continuons notre chemin tout au long du littoral vers St-Gilles-Les-Bains où nous coucherons à l'Hôtel-de-la-Plage ce soir.Nous soupons au restaurant l'Oasis des Roches, situé au bord de la plage. Le décor est chaleureux et le repas est délicieux!Jeudi,5 novembre 2009
Sachant que St-Gilles-les-Bains,à peine 35km au sud de St-Denis, est connu c
omme station balnéaire et 
que c'est le seul moment pendant notre séjour à La Réunion où nous aurons l'occasion de se tremper l'orteil à l'eau(c'est le cas de le dire...), nous en profitons pour se jeter à l'eau dès notre réveil même avant le déjeûner. Seulement notre baignade fut plus courte que prévue. À peine les pieds à l'eau que Nicolas se rend compte de la présence de ses clefs dans les poches. Se retournant un peu trop vite, il accroche son gros orteil au fond de l'eau. Résultat:plaie abrasive sur le gros orteil.La baignade est terminée. Nous avons vite compris le nom de la plage:«La plage des Roches Noires». Le temps d'une douche et de ramasser nos affaires, nous passons un certain temps à trouver un coucher pour certains soirs futurs.Avant de partir, nous prenons une bouchée à la Case au Pain d'où nous pouvons admirer une partie de la marina. Un arrêt s'impose à Saint-Louis pour quelques courses avant d'accéder au cirque de Cila
os. Pour s'y rendre,la route est superbe! Elle est surnomm
ée «la route aux 420 virages»...ça vous donne une idée.Heureusement que Nicolas a l'habitude de la conduite en montagne!Il parait que le mot «Cilaos» est un dérivé malgache et signifie «qu'on ne quitte pas» car, autrefois, il était un repaire de marrons(esclaves en fuite qui se regroupaient en clans sous les ordres de grands chefs rebelles qui rêvaient de construire un royaume plus juste).Puis,au début du XIXe siecle ave
c la découverte de sour
ces,un sentier est tracé.Malgré les difficultés d'accès,Cilaos prend de plus en plus de l'importance grâce aux plantations de lentilles(les meilleures au monde...!!!), à son petit établissement thermal et l'apparition des fabuleuses broderies de Cilaos.C'est seulement en 1930 qu'une route est construite,ce qui en facilite l'accès. Depuis,c'est un lieu de séjours favoris des Réunionnais. Arrivés à notre gîte «chez Lucette»dont la propriétaire nous reçoit avec chaleur et gentillesse. Elle nous offre le thé et nous faisons la connaissance de 2 jeunes grenoblois qui arrivent du Piton des neiges;descente assez difficile selon eux.Ils arrivent de Salazie à pieds par
le Piton! Pendant q
ue nous les laissons se reposer, nous partons explorer les alentours. Perché à 1200m, entouré des principaux sommets de l'île comme le Grand Bénare,le col du Taïbit,les Trois-Salazes,le Bonnet de Prêtre, le Gros Morne, le Dimitile et, au centre, le Piton des Neiges qui culmine à 3070m,ce petit village émerge souvent au-dessus de la couche de nuages.Il est agréable de s'y promener où nous pouvons admirer l'architecture originale de ces vieilles maisons créoles avec leurs jolies couleurs. Au retour, Yvette et Michel,un autre couple touriste, se joint à nous pour l'excellent souper à saveur locale que Lucette nous a préparé.Ils monteront demain, tout comme nous,au Piton des Neiges.
omme station balnéaire et 
que c'est le seul moment pendant notre séjour à La Réunion où nous aurons l'occasion de se tremper l'orteil à l'eau(c'est le cas de le dire...), nous en profitons pour se jeter à l'eau dès notre réveil même avant le déjeûner. Seulement notre baignade fut plus courte que prévue. À peine les pieds à l'eau que Nicolas se rend compte de la présence de ses clefs dans les poches. Se retournant un peu trop vite, il accroche son gros orteil au fond de l'eau. Résultat:plaie abrasive sur le gros orteil.La baignade est terminée. Nous avons vite compris le nom de la plage:«La plage des Roches Noires». Le temps d'une douche et de ramasser nos affaires, nous passons un certain temps à trouver un coucher pour certains soirs futurs.Avant de partir, nous prenons une bouchée à la Case au Pain d'où nous pouvons admirer une partie de la marina. Un arrêt s'impose à Saint-Louis pour quelques courses avant d'accéder au cirque de Cila
os. Pour s'y rendre,la route est superbe! Elle est surnomm
ée «la route aux 420 virages»...ça vous donne une idée.Heureusement que Nicolas a l'habitude de la conduite en montagne!Il parait que le mot «Cilaos» est un dérivé malgache et signifie «qu'on ne quitte pas» car, autrefois, il était un repaire de marrons(esclaves en fuite qui se regroupaient en clans sous les ordres de grands chefs rebelles qui rêvaient de construire un royaume plus juste).Puis,au début du XIXe siecle ave
c la découverte de sour
ces,un sentier est tracé.Malgré les difficultés d'accès,Cilaos prend de plus en plus de l'importance grâce aux plantations de lentilles(les meilleures au monde...!!!), à son petit établissement thermal et l'apparition des fabuleuses broderies de Cilaos.C'est seulement en 1930 qu'une route est construite,ce qui en facilite l'accès. Depuis,c'est un lieu de séjours favoris des Réunionnais. Arrivés à notre gîte «chez Lucette»dont la propriétaire nous reçoit avec chaleur et gentillesse. Elle nous offre le thé et nous faisons la connaissance de 2 jeunes grenoblois qui arrivent du Piton des neiges;descente assez difficile selon eux.Ils arrivent de Salazie à pieds par
le Piton! Pendant q
ue nous les laissons se reposer, nous partons explorer les alentours. Perché à 1200m, entouré des principaux sommets de l'île comme le Grand Bénare,le col du Taïbit,les Trois-Salazes,le Bonnet de Prêtre, le Gros Morne, le Dimitile et, au centre, le Piton des Neiges qui culmine à 3070m,ce petit village émerge souvent au-dessus de la couche de nuages.Il est agréable de s'y promener où nous pouvons admirer l'architecture originale de ces vieilles maisons créoles avec leurs jolies couleurs. Au retour, Yvette et Michel,un autre couple touriste, se joint à nous pour l'excellent souper à saveur locale que Lucette nous a préparé.Ils monteront demain, tout comme nous,au Piton des Neiges.Vendredi,6 novembre 2009
Ce matin,déception! La pluie, le tonnerre et les éclairs sont de la partie. Le
pronostic de la météo est mauvais pour
les jours à venir. Lucette nous déconseille de descendre de Cilaos en raison des risques de danger sur la route.De plus, il est hasardeux de s'aventurer sur la piste du Piton des Neiges. En allant annuler la réservation du Gîte du Piton à l'office du tourisme,nous rencontrons des gens qui arrivent de la randonnée du Piton. Leur verdict vient confirmer notre décision de ne pas monter.Lucette est avisée et accepte de nous héberger et de nous restaurer. Pour l'accomoder, nous offrons à Yvette et Michel de partager notre chambre contenant des lits supplémentaires. Plutôt que de se tourner les pouces, nous en profitons pour explorer d'autres attraits dont une visite à la maison de la broderie qui se trouve être un petit musée qui se consacre à la grande spécialité artisanale de Cilaos, la dentelle,réputée dans le monde entier pour son raffinement et sa perfection.Puis nous nous rendons aux thermes qui se trouve un centre de massage et soins d
e beauté.Nous poursuivons n
otre escapade à l'exposition de Philippe-Tupin, artiste-graveur puis, au Chaï de Cilaos, maison de vin.Puis nous retournons au gîte. On dirait que le soleil nous provoque;il sort le bout de son nez, puis se cache derrière ses nombreux nuages qui courent le long des montagnes apparaissant et disparaissant à leur gré. Au souper,Lucette nous sert un plat local accompagné des lentilles de Cilaos. Ce sont les meilleures goûtées jusqu'à maintenant.
pronostic de la météo est mauvais pour
les jours à venir. Lucette nous déconseille de descendre de Cilaos en raison des risques de danger sur la route.De plus, il est hasardeux de s'aventurer sur la piste du Piton des Neiges. En allant annuler la réservation du Gîte du Piton à l'office du tourisme,nous rencontrons des gens qui arrivent de la randonnée du Piton. Leur verdict vient confirmer notre décision de ne pas monter.Lucette est avisée et accepte de nous héberger et de nous restaurer. Pour l'accomoder, nous offrons à Yvette et Michel de partager notre chambre contenant des lits supplémentaires. Plutôt que de se tourner les pouces, nous en profitons pour explorer d'autres attraits dont une visite à la maison de la broderie qui se trouve être un petit musée qui se consacre à la grande spécialité artisanale de Cilaos, la dentelle,réputée dans le monde entier pour son raffinement et sa perfection.Puis nous nous rendons aux thermes qui se trouve un centre de massage et soins d
e beauté.Nous poursuivons n
otre escapade à l'exposition de Philippe-Tupin, artiste-graveur puis, au Chaï de Cilaos, maison de vin.Puis nous retournons au gîte. On dirait que le soleil nous provoque;il sort le bout de son nez, puis se cache derrière ses nombreux nuages qui courent le long des montagnes apparaissant et disparaissant à leur gré. Au souper,Lucette nous sert un plat local accompagné des lentilles de Cilaos. Ce sont les meilleures goûtées jusqu'à maintenant.Samedi,7 novembre 2009
Ce matin,la météo n'est guerre encourageante, pire qu'hier. À défaut de ne pouvoir monter au Piton, notre projet de faire la randonnée au col de Taïbit vient de s'évanouir car très nuageux avec risques d'averses.Tout juste avant le départ d'Yvette et Michel pendant une éclaircie, Lucette nous présente sa volière. Au même moment, arrive un monsieur, d'un certain âge, se dandinant dans l'entrée de la cour. Egaré de l'hôpital qui se trouve en face,nous comprenons vite la situation. Michel et moi,traversons la rue et l'accompagnons jusqu'
à l'hôpital pendant que Lucette,en
nuyée par la situation,avise le personnel-soignant. Michel esquisse un sourire taquin sur ma tenue vestimentaire. Je n'avais pas réalisé que j'étais encore en pyjama. Dans l'après-midi,il est difficile de sortir car la pluie tombe comme des cordes. Nous attendons seulement vers le fin de l'après-midi pour se rendre au petit marché et vadrouiller à différents endroits du centre. Un souvenir inusité est un magasin général qui existe depuis 1940 où rien n'a été changé selon le propriétaire indien.Imaginez le décor!Quel bazar! Mais le monsieur si accueillant avec ses pantouffles et ses cheveux blancs ébouriffés aime bien nous raconter qu'il est là depuis 1947 et que ce commerce appartenait à ses parents auparavant. C'est le dépanneur du coin.Il a sûrement quelque chose pour vous dépanner.Par la fraîcheur de la température humide de la montagne, nous sommes quelque peu transis.No
us arrêtons au salon de thé de l'hôtel Tsilaosa y prendre 
un bon thé chaud. Qu'il est bon sentir cette bonne chaleur dans cette ambiance chaleureuse où le patron aime bien discuter avec nous; il a une fille qui habite à St-Sauveur au Québec...!!!!Puis, après quelques achats, nous traversons en face chez Noé où notre repas du soir se compose du canard à la vanille et de l'autruche avec lentilles. Finalement, la pluie cesse complètement vers 19hres.
à l'hôpital pendant que Lucette,en
nuyée par la situation,avise le personnel-soignant. Michel esquisse un sourire taquin sur ma tenue vestimentaire. Je n'avais pas réalisé que j'étais encore en pyjama. Dans l'après-midi,il est difficile de sortir car la pluie tombe comme des cordes. Nous attendons seulement vers le fin de l'après-midi pour se rendre au petit marché et vadrouiller à différents endroits du centre. Un souvenir inusité est un magasin général qui existe depuis 1940 où rien n'a été changé selon le propriétaire indien.Imaginez le décor!Quel bazar! Mais le monsieur si accueillant avec ses pantouffles et ses cheveux blancs ébouriffés aime bien nous raconter qu'il est là depuis 1947 et que ce commerce appartenait à ses parents auparavant. C'est le dépanneur du coin.Il a sûrement quelque chose pour vous dépanner.Par la fraîcheur de la température humide de la montagne, nous sommes quelque peu transis.No
us arrêtons au salon de thé de l'hôtel Tsilaosa y prendre 
un bon thé chaud. Qu'il est bon sentir cette bonne chaleur dans cette ambiance chaleureuse où le patron aime bien discuter avec nous; il a une fille qui habite à St-Sauveur au Québec...!!!!Puis, après quelques achats, nous traversons en face chez Noé où notre repas du soir se compose du canard à la vanille et de l'autruche avec lentilles. Finalement, la pluie cesse complètement vers 19hres.
