Petite pause montréalaise...!

Mardi,24 mars 2009

Pendant notre sommeil,un fait cocasse se produit.Mon cellulaire¨natel¨que, je croyais éteint, a réveillé toute la meute.Plongée dans le sommeil, j'ai mis du temps à réaliser l'imbroglio.Je vois Charles se lever carrément dans le lit pour chercher d'où vient le bruit.Tout à coup, ce son familier me rappelle la sonnerie de mon réveil-matin. À mon tour, je cherche où peut-il bien se cacher pour faire taire ce bruit musical olé-olé.Trouvé, je ferme la sonnerie et me rendort aussitôt. Dix minutes, plus tard,le natel répète son stratège. Inutile de vous dire que je pose rapidement le doigt sur le bouton de fermeture assez rapidement. Il n'y a plus d'inquiétude à se faire;sa batterie est épuisée.Nous pouvons continuer notre dodo. Pendant que Charles et Julie sont au travail, je relaxe, je reçois des téléphones et je réponds à quelques messages virtuels.Par la même occasion, je communique avec Colette et Pierre de la Floride et même Nicolas de Lausanne. Nous ne pouvons communiquer longtemps, un problème technique nous empêche de poursuivre nos conversations. La journée avance bien et Marie-France,ma grande amie depuis presque toujours s'annonce; elle vient me chercher après sa journée de travail. Elle fait la connaissance de Charles et prend plaisir à revoirJulie qui lui fait écouter ma fameuse entrevue radiophonique avec Isabelle Maréchall du mois de novembre dernier à propos de l'exode des infirmières. Puis Marie-France et moi,nous nous dirigeons à l'un des restaurants du coin.Nous avons plaisir à nous retrouver et à remettre nos potins à jour. Comme à l'habitude, depuis de nombreuses années, nous ne voyons pas le temps passé et la serveuse doit nous inviter à quitter car le restaurant va fermer.Ce n'est pas nouveau pour nous,hi!hi! Marie-France vient me reconduire à la porte. Heureuses de s'être retrouvées, nous nous saluons gaiement avec la promesse de recidiver.

Mercredi,25 mars 2009

Ce matin, je paresse. C'est mon corps qui me l'indique. Dring!dring! Le téléphone sonne; c'est maman. Je crois qu'elle a bien hâte de me voir; moi aussi d'ailleurs. Après quelques communications outre-mer, je me prépare tranquillement. Vic, un ancien collègue, qui demeure maintenant à Montréal, vient me chercher pour le temps d'une pause-café. Sympathique, il m'accompagne à l'épicerie, non loin, et m'aide à porter les sacs jusqu'à l'appartement.Il me laisse à la porte pendant que je m'affaire à préparer le repas du soir. C'est un plaisir que de surprendre Charles et Julie à leur arrivée.Après une pause -tv qui nous fait flâner le reste de la soirée,tous fatigués, je crois, nous nous sommes endormis.Puis, un peu plus tard, je retrouve Julie devant son travail.Bonne nuit!